Dans cette situation précaire, Béatrice a reçu des soutiens d’un peu partout : « Notre comité de soutien fait le lien avec des associations. Nous avons envoyé des courriers au ministère et des élus vendéens nous soutiennent », affirme Brigitte, autre membre du collectif. Pour elle et ses amis, tout repose désormais sur la décision souveraine du préfet de Vendée.
(source : ouest-france.fr)