Il a également rappelé qu’à ses yeux, les Iles Vanille offraient une "réponse pragmatique aux changements induits par la mondialisation et aux nouvelles exigences d’une clientèle internationale en quête de dépaysement, d’authenticité et de sites préservés, d’où la grande importance que nous devons accorder à l’éco-tourisme et au respect de notre environnement."
C’est pourquoi, toujours en parlant des Iles Vanille, Didier Robert a souligné l’utilité d’accompagner les opérateurs, de former les jeunes, d’améliorer la qualité de l’offre, où encore d’assurer une "plus grande cohérence des actions de promotion" sur tous les marchés. Autant de chantiers auxquels s’ajoutent d’autres chantiers pragmatiques, tels que l’assouplissement de la réglementation des délivrances de visa, l’amélioration de la desserte aérienne inter-îles et vers le reste du monde.
Un dernier point dont il a souligné la difficulté, et qu’il faudra "mobiliser davantage nos énergies et résoudre".
Une rencontre, à ce propos, devrait avoir lieu dans les prochaines semaines, entre les différentes compagnies aériennes de la zone et les partenaires.
Enfin, Didier Robert a profité de sa présence sur place pour signer un accord-cadre pour la formation avec l’office national du tourisme de Madagascar, autour de six axes. On y retrouve notamment l’appui à la création d’une école hôtelière, la formation de formateurs au niveau national, l’appui à la formation du français de spécialité ou l’e-tourisme, l’appui logistique dans l’équipement pouvant être déclassés et cédés aux partenaires malgaches, ou encore les échanges d’enseignants et de stagiaires.