En définitive, la hausse du prix est annoncée, mais pour l’instant, Madagascar disposerait de réserves suffisantes, du riz importé et produit avant les inondations. La présidence juge donc impossible que les prix élevés observés actuellement soient déjà la conséquence des intempéries. Alors, comment expliquer cette hausse des prix ?
Pour la présidence, il s’agit de spéculation. L’Etat annonce donc des inspections pour vérifier que personne ne dissimule des stocks pour faire monter les prix artificiellement. Des pratiques jugées antiéconomiques et antisociales par les autorités alors que la population du pays est l’une des plus pauvres au monde.
Source : rfi.fr