Les villageois présents au moment du massacre au marché d'Andaza se sont enfuis dans l'affolement général alors que les premiers coups de hache étaient portés.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la thèse d'un règlement de comptes serait privilégiée par la gendarmerie locale, puisque les victimes seraient des connaissances de Rekamainty et de sa milice armée qui terrorisent la localité d'Andaza depuis de longs mois, comme l'indique le site lexpressmada.com.