Le président de l’Assemblée nationale s’interroge par ailleurs sur la crédibilité des participants aux Assises pour la réconciliation nationale : « Ces 1 830 [personnes] qui ont donc pris ces résolutions, on peut se poser la question d’où viennent-elles ? Quid de la réelle représentativité ? Ce projet de dissolution des institutions de la République, c’est la République que l’on veut en quelque sorte remettre en cause ».
L’étude des résolutions a désormais commencé. Un comité de pilotage avec des juristes notamment doit déterminer si leur application est faisable et c’est la présidence qui aura le dernier mot.
Source : rfi.fr