En parallèle, la pression fiscale devrait augmenter et passer de 11,6 à 12,3% du PIB.
Selon M. Razafindravonona, l’augmentation de la pression fiscale ne pèsera pas sur le pouvoir d’achat des ménages et donc sur la consommation.
«Si on va augmenter les recettes fiscales pour 2015, on n’est pas forcément obligés de recourir à des nouveaux taux ou à des nouvelles assiettes. Mais les mesures qui existent déjà ne sont pas encore exploitées au maximum. Ceci étant, ça ne va pas du tout entraver l’idée de la relance économique», explique-t-il.
Concrètement, le gouvernement compte multiplier les contrôles pour faire payer la multitude d’entreprises qui échappent à l’imposition.
Source : AgenceEcoFin.com