Son audition s'est faite par visioconférence depuis Madagascar, où il a affirmé ne pas être "corrompu". Il lui est reproché d'avoir facilité la fuite et la couverture de Mamodtaky. Il reconnaît en revanche avoir eu des relations amicales avec le couple, sans toutefois avoir bénéficié de "faveurs".
Anaclet Imbiki estime que les accusations portées contre lui sont dues au fait que le régime malgache était très fragile à l'époque, et qu'il fait office de bouc-émissaire.
Le verdict final de ce procès est attendu pour la fin de la semaine.