300 ans après, Barry Clifford, un aventurier chasseur d’épaves, est certain d’avoir mis la main dessus au plus grand dam des archéologues professionnels. Ils lui reprochent de ne pas avoir utilisé de caution scientifique pour fouiller les épaves marines en plus d’avoir abîmé le site. «Remonter à la surface des objets qui séjournent dans l’eau de mer depuis des siècles entame un processus de dégradation. Cela demande un savoir-faire très spécialisé pour assurer leur conversation puis leur restauration», explique au «Parisien» Michel L’Hour, le président du Drassm (Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marine).
Plusieurs tâches à exécuter
Rendez-vous le 24 juin prochain, date de retour de l'expédition, pour savoir si le lingot faisait bel et bien parti du magot du Capitaine Kidd.
Source : parismatch.com